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Sa grand-mère le
surnomma « Tignous » (petite teigne en occitan) parce que
Denis
la Menace
, c’était déjà pris. C’est dire que son mordant date de ses deux
premières dents qu’il a d’ailleurs gardées sur le devant.
Une seule activité pouvait contenir le bouillant
énergumène…le dessin ! Ou l’art d’exprimer sa hargne sans
faire de blessés, l’ironie sera son combat.
Il a fait des pieds et des mains pour parvenir au
premier rang des grands satiristes dessinateurs. 30 ans après, il ne sait
toujours pas dessiner ni les pieds ni les mains mais tout le reste est
magistral.
Inventeur de la pendule en nougat qui se caractérise
par une grande aiguille plus courte que la petite, cela ne l’a pas
empêché d’être à l’heure pour…
…dessiner à : « Charlie
Hebdo », « Marianne », « LCP Assemblée
Nationale », « L’Echo des Savanes », « Fluide
Glacial », « Cargo » …
livres :
« On
s’énerve pour rien » (Ed.
La Découverte
), « Pourquoi faire simple » (Ed.
La Découverte
), « Impressions japonaises » (Ed. Denoël), « Banlieues
tant que ça tient » (Ed. Denoël), « Tas de riches » (Ed.
Denoël), « Tas de pauvres » (Ed. Denoël),
« Corvée de bois » avec Didier Daenincks (Ed. Libertaires
Niger), « Charlie saute sur les sectes » avec Antonio
Fischetti (Hors série Charlie Hebdo), « Les années Charlie »
(Ed. Hoebecke), « Les années Jean Paul II » (Ed. Hoebecke),
« Mozart qu’on assassine » (Ed. Albin Michel),
« Le sport dans le sang » (Ed. Ema Flore),
« L’amour s’envole les enfants restent » (Ed. Aouva – www.lamoursenvole.com
)
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